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En son temps, j’avais aimé « Je m’en vais » qui est un roman de Jean Echenoz paru le 7 septembre 1999 aux éditions de Minuit. L’auteur a reçu le prix Goncourt pour ce roman la même année.
« Je m’en vais, dit Ferrer, personnage principal du roman, je te quitte. Je te laisse tout mais je pars. »
Et maintenant, j’aime beaucoup les paroles et la musique de la chanson de Vianney qui reprend le même titre, « Je m’en vais », notamment cette strophe très symbolique du passé de ce voyageur hors normes qui me rappelle quelques escapades que j’ai moi-même effectuées à la fin des sixties et au début des seventies… peut-être pour atténuer moi-aussi une certaine peine:
« J’ai troqué mes cliques et mes claques
Contre des cloques et des flaques
Mon sac à dos pour oublier
Qu’avant c’est toi qui me pesait
Ce qui m’emmène, ce qui m’entraîne
C’est ma peine, ma peine plus que la haine
Oh ma route, oh ma plaine
Dieu que je t’aime… »
Cette strophe est très symbolique de son passé de voyageur et un peu du mien aussi… 😉
Vianney s’est rendu en Israël en auto-stop, avec seulement 100 € en poche. Personnellement, je me suis rendu sur la Côte d’Azur et l’Espagne en auto-stop en « oubliant » de me présenter à l’examen de fin d’apprentissage avec, en gros, 100 francs en poche.
En 2012, il effectue un tour de France en scooter électrique, dormant dehors ou chez l’habitant. Personnellement je n’avais pas de scooter mais une moto Guzzi 125 cm3 avec laquelle j’avais fait le tour de la Suisse et une incursion en Italie au début des 70’s.
Il s’est également rendu à vélo à Londres, Berlin et Stockholm. Personnellement, toujours dans les 60’s, je me rendais tous les jours en vélo et par tout temps à mon boulot d’apprenti dans le plus grand garage mulhousien de l’époque, le garage Peugeot Julien Schwer… 😉