C'est souvent en empruntant des chemins boueux dans la forêt, des sentiers détrempés dans les champs de maïs, des allées sablonneuses à flanc de coteau que l'on découvre les cimetières juifs dans leur silence. C'est alors sur l'horizon de la vie que s'ouvrent ces vieux portails rouillés, qui se dressent, béants...